jeudi 6 février 2014

Rebecca Kean la cruelle!

 Cassandra O'Donnell & Rebecca KeanCassandra O'Donnell mon héroïne <3


Parce que j'aurais très bien pu faire une critique par livre de cette auteure mais il risquait d'y avoir une sorte de répétition des mots et expressions « Génial, j'adore, je bave, je rêve, j'achète, je relis, je connais pas cœur » alors je préfère faire une sorte de résumé de cette auteure.
J'ai lu tous les Rebecca Kean, j'attends toujours la suite avec impatience ( SPOILER:quelle cruauté de nous laisser avec Mamie Vikaris!) et je les lis toujours en une journée tellement je suis incapable de m'arrêter de lire. « Allez on s'arrête au chapitre suivant... Oh Merdum ! Juste après ... Bon ok on dormira demain c'est pas grave !! » Rebecca a quelque chose de la princesse qui manque chez D*sney, un caractère fort, un amour inconditionnel pour certaines personnes de son entourage (Léonora, Bruce, Beth, Gordon... Raphaël, n'oublions pas ce bon vieux 

Bougre ;p) tout comme elle est capable de le détester profondément (les nosferatu, les étrangers, les hors-la-loi et tout ceux qui mettent en péril sa petite vie tranquille).
Elle n'est pas forcément un exemple de calme ou de zénitude mais imaginons deux secondes et demi que nous soyons dans sa situation : Chasser par ses paires, amoureuse de son ennemi juré, coupain-coupine avec un DÉMON, ah non pardon lePATRON DÉMON, toujours sous la protection de sa Grande Déesse mais détestée par sa famille, je pourrais citer beaucoup plus mais j'ai peur de SPOILER des lecteurs fan de la série comme moi.
Je relis souvent les passages qui m'ont marqué ; restons dans le premier tome pour ne spoiler personne connaissant la série, lorsqu'elle rencontre Bruce (qui soit dit en passant est l'un de mes personnage préféré mais si vous insistez je le nierais même sous la torture!) lorsque Léonora est enlevée 

et que Rebecca se voit dans l'obligation d'invoquer son pouvoir pour sauver la personne à qui elle tient le plus.
Elle évolue durant les tomes, ne le cachons pas, elle ne reste pas la Vikaris sans cœur qu'on lui a dicté d'être durant tout son enfance, elle s'attache, aime, offre sa confiance. Elle devient un peu plus humaine, mais elle ne perd ni son mordant, ni la rage qui l'anime lorsque sa vie est chamboulée.
Rebecca est ce genre de casse-tête que l'on veut à tout prix déchiffrer, toutes ses facettes ne sont pas de la même couleur, elle n'est pas qu'une Vikaris, autant qu'elle n'est pas qu'une Humaine ( SPOILER : enfin Démone...).
J'aime beaucoup les lire parce que l'écriture est fluide, douce et parfois brutale lorsqu'il le faut, 

ce n'est pas pour passer de la pommade, loin de là, je suis juste complètement In Love de cette histoire et savoir qu'en plus l'écrivain est une FRANCAISE, « Oh God, retiens moi je meurs là.... »
J'aurais adoré me pointer au salon du livre avec mes 4 bouquins les poser sur la table, la regarder et dire « Pitié, je peux avoir votre autographe sur TOUS mes livres, nan parce que je 

VOUS ADORE »

Cassandra O'Donnell & Rebecca Kean
Mais soyons réaliste, 1 je suis d'une timidité maladive, 2 le salon de livre se trouve à Paris et je suis sur Marseille (pleurer pour moi s'il vous plaît), 3 il se déroule toujours pendant que je suis en cours (ouais la c'est les chutes du Niagara...)
Je ne lis pas QUE Rebecca Kean, attention loin de moi l'idée de vous faire penser cela, cependant c'est une histoire que je me plais à re re (ajouter une centaine de ce préfixe à peu près... encore un peu... Oui voilas c'est suffisant) lire et à toujours autant apprécier qu'à la première lecture.
A chaque sortie c'est pareil, je trépigne d'impatience, je le dévore et je pleurs en sachant que je ne pourrais lire la suite que l'année suivante (oui j'exagère, je suis d'une mauvaise foie qui trou le 

plafond guy.), et je suis toujours autant dedans, à chaque tome, l'histoire ne s'essouffle toujours pas (THANK YOU) et l'héroïne ne change pas tout d'un coup (POUF je suis Cendrillon, j'aime tout le monde, tout le monde m'aime), ne change quasiment pas même. Les changements notoires que l'on peut lui coller sur le dos vont de paires avec l'avancement de l'histoire (son attachement pour Ali, un sex symbole capable de se transformer en un tigre à dent de sable (Diego repose tout de suite ce bébé!), son amour inconditionnel et qu'elle ne s'explique toujours pas pour Bruce, second sex symbole qui lui se métamorphose enLoup des Steppes ( Oh grand-mère comme vous avez de grands yeux!)) tous ces 

changements SONT Rebecca, même si tout le monde ne doit pas avoir le même avis que moi, je tiens et soutiens que si elle était restée une Vikaris Frigide je n'aurais pas autant flippé pour elle (avec le cœur qui bat la chamade et tout) lorsque le dernier tome (Ancestrale) c'est terminé, je sais pas comment vraiment l'expliquer mais pour faire rapide (et vraiment condenséRebecca est capable de me vendre du rêve, elle est tout ce que j'aimerais être (sans les Vikaris tarées aux fesses s'il vous plaît), forte et douce, capable d'aimer comme de haïr à fond, et toujours en train de taper et d'après penser à poser le questions.


J'ai finit mon résumé sur une auteure que j'adore, sur une série qui me fait rêver et pleurer comme aucune autre, sur une histoire tirée par les cheveux (mais c'est parce qu'elle le vaut bien, non?), et une héroïne avec du piquant, elle est comme le curry on adore, mais ça pique quand même.


"Ma proie savait se montrer discréte. Elle marchait tranquillement parmi la foule d'étudiants qui se trémoussaient, buvaient et riaient dans le club. Rapidement, je vis que son regard se posait sur un homme isolé qui semblait mal à l'aise."


#S'évader le temps d'une page

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